Service à la personne : les équipes de Douarnenez, Quimper et Plogonnec fusionnent

Service à la personne : les équipes de Douarnenez, Quimper et Plogonnec fusionnent

13 juin 2019

Publié le 13/06/2019 à 16h33 - © Ouest France

Service à la personne : les équipes de Douarnenez, Quimper et Plogonnec fusionnent

Depuis le 1er janvier 2019, trois services à la personne de Douarnenez, Quimper et Plogonnec (Finistère) ont fusionné au sein d’une seule et unique structure, l’Acimad, services à la personne et à domicile.

 

C’est en janvier 1972 que l’Adapa (Association douarneniste d’aide à la personne et d’accompagnement) s’organise à Douarnenez.

Depuis, sept jours sur sept, l’association intervient auprès de ses adhérents. Son objectif : aider toute personne, à tout moment de sa vie, par des actions de qualité : aide matérielle, aide et soutien à la personne, aide aux actes essentiels de la vie quotidienne…

Dans les villes proches de Douarnenez, un service similaire fonctionne au profit des habitants. Depuis le 1er janvier, l’Adadom de Plogonnec, l’Adima de Quimper et l’Adapa de Douarnenez ont officiellement fusionné au profit d’une structure commune baptisée Acimad (Association cornouaillaise d’intervention et d’accompagnement à domicile) et dont le siège se situe au 5, rue des Plomarc’h à Douarnenez.

1 000 personnes concernées

« L’idée est de travailler ensemble plusieurs domaines et de créer une culture commune avec une même qualité de service en accompagnant les personnes à leurs domiciles tout en étoffant les ordres de services », raconte Hervé Le Gall, le directeur de l’association. Les valeurs sont les mêmes au sein de la nouvelle structure depuis octobre 2017. Elles visent à progresser sur la qualité d’accompagnement. « Cela nous permet d’accompagner plus de personnes, de la naissance à tous les moments de la vie afin de répondre à la population », reconnaît Hervé Le Gall.

« Avec ses 180 collaborateurs, dont une majorité d’aides ménagères, avec un service temps plein ou l’on essaye de valoriser le métier, nous essayons également de valoriser les métiers », prévient Hervé Le Gall. Désormais ce sont de 900 à 1 000 personnes qui sont concernées. L’Acimad s’occupe également de l’accompagnement des personnes handicapées.

Certaines ne sont pas forcément prises en charge par les institutions. Il faut alors adapter les interventions pour la prise des repas ou les sorties au cinéma. Pour Hervé Le Gall, sur le départ d’ici cinq mois, diverses propositions complémentaires pourront être bientôt offertes sans pour autant venir en concurrence comme l’accompagnement sur la garde des enfants.